Avez-vous déjà remarqué qu’une assiette de sucre à la crème est placée près de la caisse dans les restaurants Cora? Qui n’aime pas terminer un repas avec une petite bouchée sucrée?
L’histoire de ces délicieux petits carrés d’amour offerts tout spécialement pour faire plaisir au monde remonte à Noël 1987, dans le premier restaurant Cora. Comme vous le savez, après mon divorce du père de mes trois enfants, j’ai passé plusieurs années à travailler comme gérante dans un restaurant six à sept jours par semaine pour arriver à faire vivre ma famille. Au bout de quelques années, ces longues heures m’ont exténuée et j’ai été forcée de prendre plus d’un an de repos. Lorsque je me suis relevée de mon sofa, la route que j’empruntais pour conduire mon fils à l’école m’a amenée à passer devant un restaurant à vendre. J’y ai ouvert le premier restaurant Cora et vous connaissez la suite, comme on dit.
La pauvreté nous avait appris à tendre la main pour demander et, dès que nous le pouvions, pour redonner. C’est sans s’en rendre compte que nous sommes devenus chaleureux et généreux. À force d’avoir besoin d’amour, nous nous sommes habitués à faire plaisir aux autres. Tout ça s’est forgé comme la mousse sur les arbres, sans qu’on s’en aperçoive vraiment. Nous adorions surprendre un habitué du restaurant avec notre générosité en lui proposant gratuitement un deuxième bol de soupe ou en lui remettant une pointe de dessert emballée pour emporter à la maison. D’un jour à l’autre, l’amour s’est mis à germer dans nos oreilles pour écouter de plus près notre monde; sur nos paupières pour être certains de reconnaître nos clients à chaque visite; dans nos mains pour les éblouir chaque fois; et dans le fin fond de la coquille osseuse de notre cerveau où grandissait une créativité bienheureuse.
Cette énergie salvatrice a fait son chemin à travers nous, affectant au passage notre volonté, notre raisonnement et l’imagination constructive qui allaient nous aider à bâtir la réputation de notre restaurant. Chacun de nos employés apportait sa précieuse touche de magie! C’est ainsi qu’est née la tradition d’offrir un petit plaisir supplémentaire à nos clients après le repas. Durant ce fameux souper de Noël 1987, une de nos serveuses avait emballé de gros morceaux de sucre à la crème dans du papier ciré afin que chacun puisse en rapporter à la maison. Le lendemain, au poste dans mon étroite cuisine, j’ai décidé qu’on offrirait gratuitement un morceau de sucre à la crème à chaque client qui viendrait déjeuner. Chaque personne qui mangerait Chez Cora recevrait donc un chaleureux « Bonjour » en arrivant et serait remerciée d’une petite douceur à emporter en nous quittant. Oui, oui! Et la tradition persiste encore, 38 ans plus tard. N’hésitez pas à prendre votre sucre à la crème : un morceau pour vous et un deuxième pour moi!
Si vous avez envie de ravir quelques becs sucrés, voici la recette :
Ingrédients
3 tasses (750 ml) de cassonade pâle
2/3 de tasse (150 ml) de beurre fondu
2/3 de tasse (150 ml) de crème 15 % ou 35 %
2 tasses (500 ml) de sucre à glacer
Quelques pincées d’amour
Préparation
Beurrer un plat de 6 pouces x 10 pouces.
Dans une casserole, mélanger la cassonade, la crème et le beurre. Porter à ébullition.
À partir du premier signe d’ébullition, poursuivre la cuisson encore 5 minutes.
Retirer du feu. Ajouter le sucre à glacer en fouettant énergiquement à l’aide d’un fouet ou d’un batteur électrique.
Lorsque le mélange est onctueux, étendre dans le plat.
Laisser refroidir et couper en carrés.
Déguster avec modération et partager généreusement!
Cora
❤️
Tard un soir, je soulevais mes bras, palpais mes jambes; je tournais ma tête d’un côté, puis de l’autre comme si je conduisais un étrange transporteur. Ce corps vaillant dans lequel j’habite me transporte où je souhaite aller, un véritable véhicule vivant, composé d’une solide ossature, capable d’accommoder et de nourrir.
Je ne me suis jamais vraiment soucié du corps humain. Certes, je le côtoie chaque jour, je le vois faiblir et perdre son agilité lentement mais sûrement. Telle une pelisse portée mille ans, son revêtement se fendille, se craquelle, s’abîme et accumule les taches. Je n’ai pas aidé la cause en ignorant totalement les crèmes magiques qui auraient pu ralentir la dégénérescence de ma peau.
Née entre terre et mer, dans une large baie, je me suis toujours perçue forte comme le roc des falaises gaspésiennes et vive comme l’eau des grandes marées. Beaucoup trop occupés à essayer de s’entendre et à trouver un compromis au bonheur qui leur manquait, mes parents sont passés un peu à côté de l’éducation de leurs marmots. Nos corps ont grandi en toute liberté; un peu comme les quenouilles sauvages des bords de routes.
Vitement obligés de gagner notre croûte, nous avons longtemps négligé de prendre le temps de nous connaître. Nous avons peu appris sur nous-mêmes jusqu’à ce que chacun, avec courage et détermination, découvre ses forces, ses faiblesses, ses talents et ses appréhensions. Nous avons pris de l’âge et me voici aujourd’hui en train de gruger ma soixante-dix-huitième année sur terre. Ce corps abîmé, fatigué et usé, me sert encore fidèlement. Comment pourrais-je le nommer? Persona, individu, anatomie, matière, corpus, substance, ou peut-être organisme? Quelle étrange chose que ce corps qui persiste à durer! Je suppose qu’il agit comme la maison qui ne se demande jamais qui l’habite; elle les héberge et les abrite, tout simplement.
J’apprécie tout ce que ce corps a été et, heureusement, tout ce qu’il s’entête toujours à faire pour moi depuis toutes ces années. Il ne gémit pas, même s’il émet des sons; il ne me maudit et ne me contredit jamais. Cette ultime merveille du monde mérite tous mes éloges et, un jour, quelqu’un devra déposer à ses pieds les plus belles tulipes de Hollande en mon nom.
Ce corps va-t-il rendre l’âme lui aussi et mourir un jour? Comment pourrai-je continuer sans lui? Lui qui gesticule, parle, s’agite et dit tout ce que j’ai envie de dire. Lui qui se heurte à l’adversité, prend soin de ma centrale de création et donne vie à plusieurs de mes désirs. Lorsqu’il est contrarié, agacé, fatigué ou mécontent, ce corps hausse le ton. Quelquefois, il me semble que ses pulsations cardiaques inventent des cavalcades inécoutables juste pour nous divertir. Jusqu’à ce qu’il expulse son dernier souffle, c’est ce vénérable corps qui me gardera vivante.
Que m’arrivera-t-il par la suite? Sans ce corps, que verrai-je dans le miroir? Qui serai-je dans le monde? Un fugace souvenir, une centrale nucléaire désactivée? Sans ces yeux, j’oublierai vite la beauté. Sans le pouvoir olfactif de ce nez, je délaisserai le parfum des fleurs et, sans cette motricité globale, je deviendrai une morte-vivante cherchant le repos éternel.
J’anticipe pourtant une imperceptible réconciliation de tout ce que je suis avant de ne plus être. Ce souffle de vie m’animera et se manifestera au centre d’un univers que j’aurai moi-même créé. Du moins, c’est ce que supposent les sages. Ma pensée, ma conscience, mon discernement et tout l’amour que mon cœur contient ne mourront point. Ce souffle, cette bienheureuse présence immatérielle dans un monde matériel, sera immortel. Et lorsqu’arrivera l’heure où le corps se décomposera, la maison de chair se transformera en millions d’étoiles filantes.
Quand mes doigts grimpent l’un sur l’autre sans que je puisse faire quoi que ce soit pour les empêcher de fuir, je reste tranquille et j’attends. Je savoure ce moment d’attente.
Je patiente avant que mes phalanges ne se disloquent, que mes paumes échappent leur contenu et que je ne puisse plus me dresser contre l’inévitable.
J’attends l’ultime spectacle où le corps s’effondrera et se renouvellera en millions de granules d’espoir et où le cœur arrivera enfin à la porte du paradis.
Mais le souffle demeure. Il cherche une autre maison pour loger la matérialité de son air; un genre d’état d’esprit paradisiaque que tout humain décédé pourra connaître.
Cora
♥️
Dans ma grande maison transformée en bibliothèque, il ne me reste plus qu’un seul petit coin pour insérer un nouveau livre sur une étagère. Tous les murs de ma cabane sont placardés d’étagères, un ramassis de succès de librairie que j’époussette depuis plus de trente ans. Dans ma verrière quatre saisons, j’ai une très longue table étroite sur laquelle s’empilent mes récentes acquisitions. Et la table déborde! Certes, je lis à outrance; souvent incapable de séparer le bon grain de l’ivraie.
En ce qui concerne les romans, je ne suis experte de rien. Pourtant, lorsqu’on me conseille un Dany Laferrière quasi toujours usagé, je lis la quatrième de couverture et je l’achète à n’importe quel prix. Je sais, je sais! Je suis une acheteuse compulsive lorsqu’il s’agit de livres. Je suis totalement incapable de résister aux délicieux bouquins de poésie qui affinent mon esprit. Comme je vis à la campagne, chaque semaine, mes promenades tournent autour des bouis-bouis de livres usagés, et il y en a tellement dans nos magnifiques Laurentides! Surtout lorsqu’arrive l’été, et qu’un peu partout, les gens tiennent des ventes de garage et étalent leur marchandise en plein soleil. J’ai souvent trouvé des bijoux de livres très peu malmenés, des classiques, quelquefois même des raretés à peine feuilletées.
J’aime les livres encore plus que la crème glacée ou le sucre à la crème! Bien sûr, il m’arrive de craquer pour un titre accrocheur avant même d’avoir lu la quatrième de couverture. Je crois sérieusement que mon amour des livres vire à l’obsession. Oui, oui! Je zieute, je reluque, je m’emballe. J’ai grandi, puis vécu en manque d’affection, de considération et, le pire, en manque d’amour. Serait-ce pour cela que je compense aujourd’hui en accumulant toutes sortes de beaux bouquins pour me tenir compagnie? Ces amoncellements de livres comblent certainement un vide existentiel. Chacun d’eux camoufle peut-être les barreaux d’une prison imaginaire.
Comment pourrais-je me libérer de cette dépendance compulsive à acheter des livres, aussi merveilleux soient-ils?
Mon pire défaut, mon vice, c’est justement d’être une acheteuse compulsive qui n'arrive pas à s’empêcher d’acquérir sans cesse de nouveaux ouvrages neufs ou usagés que je ne lirai probablement jamais, même à moitié. Il y a les véritables amoureux des bouquins qui les feuillettent avec égard, qui conservent quelques-uns de leurs favoris et les mettent à l’honneur dans leurs étagères, un peu comme moi. Et puis il y a la vraie moi, l’acheteuse maniaque qui ne réussit pas à arrêter d’acquérir sans cesse de nouveaux ouvrages que, tout probablement, je n’aurai pas le temps de lire. Mon amour des livres s’éteindra-t-il avec moi?
Les yeux mouillés, j’ai déjà donné six gros sacs IKEA remplis de mes meilleurs livres de cuisine à des organismes municipaux. Comme on m’a chaleureusement remerciée, peut-être vais-je récidiver avec des classiques et des romans que j’ai presque tous parcourus.
Comment vais-je m’en sortir? Je n’arriverai jamais à tout trier, et les jeter me briserait le cœur. Pour toutes sortes de raisons, j’aime encore chacun de mes livres et surtout ceux qui m’ont particulièrement appris à vivre, à m’exprimer et à écrire correctement.
Toutes ces pages qui me parlent, ces histoires inventées, ces lettres du dimanche, ces quelques livres publiés. Ma vie se résume à une accumulation de mots imprimés et précieusement conservés.
Cora
♥️
Aujourd’hui, que faire avec cet étrange thème occupant l’entièreté de ma caboche? Je plie et déplie mes mains; le froid glace mes dix doigts. Depuis quelques semaines, j’essaie d’animer ce cher clavier, mais tous mes jolis mots restent muets.
Trop tôt sans doute, mon petit moi dégringole et tombe dans le vide. Ma longue traîne de reine du déjeuner s’effrite comme une galette beaucoup trop cuite. Malgré mille miettes de mots, une abondance de Lettres du dimanche et de festins d’oiseaux, parfois même dans la langue de Shakespeare, les mots m’échappent désormais.
Que puis-je dire, que puis-je faire? Peut-être qu’un matin, ou à la brunante, ma lourde tête se videra tel un puits asséché. J’ai mal, je souffre. Mon monde est un immense déversoir de mots qui s’éparpillent, se disséminent, et quelques rares fois s’envolent. Ce continuel bourdonnement d’histoires dont je peine à me rappeler. Toutes ces lourdes phrases à requinquer; tous ces jolis mots que je commence à oublier.
Je ressens quelques fois ces bleus de l’âme, ces petites morsures du temps. Cet affreux sentiment d’être esseulée, rongée par la déprime ou l’angoisse. J’ai tellement écrit sur des choses joyeuses, sur le vrai monde qui attend mes lettres et qui me lit. Je ne peux que continuer à me coller sur mes précieux lecteurs, sur la présence d’autres humains, sur mes fantastiques semblables.
Je ne veux pas débarquer du tapis roulant de la vie. Peut-être vais-je tituber, tomber parfois, mais j’insisterai pour me relever. Je vais certes traverser des pertes, brûler des biscuits, manquer des rendez-vous, égarer des clés. L’important, c’est de ne jamais oublier l’humain à partir d’une rencontre, d’une émotion, d’une simple curiosité. Serait-ce ma façon d’échapper à l’esseulement?
Avec mon vieux déguisement de super héros, ressusciterai-je les oublis de ma mémoire, le hasard des mots, la suite dans mes idées? Mais, surtout, que puis-je faire pour freiner l’absence de plus en plus marquée de ces précieux mots? Une petite virgule suffirait-elle à changer le cours de ma vie?
La brume se dissipe, le matin se lève. Quelques rêves encore flous taquinent mes orteils. Tellement de mots tombent dans le vide; tellement de phrases besognent pour être écoutées.
Ces jours vieillissants ont ouvert un gouffre de stupeur, de lenteur et d’effarements. Mon corps penché sur mes mains dans le petit lavabo, le miroir qui me renvoie l’image de mon beau visage désormais blessé de cernes et de rides. Je cherche un joli mot, un filon d’idées. Une grimace m’apparaît dans la glace.
Tandis que dehors une famille de corneilles occupe mon gros pommier, je reste au chaud dans ma tanière, j’enlève la robe des pommes pour concocter un dessert. Quelle bonne cuisinière j’ai été, créatrice d’autant de délicieux déjeuners! Au paradis, quasi certaine, je nourrirai les anges et les archanges.
L’euphorie de la possession se dissipe assez vite. Il en va de même des obstacles qui ne sont en réalité qu’une série de leçons à apprendre. Aurais-je été trop dure avec moi-même? J’ai toujours essayé de faire de mon mieux. Je n’ai pas écrit pour performer, mais pour aimer mes lecteurs.
Comment survivre quand mes raisons de vivre s’amenuisent? Quand le travail et la famille ne justifient plus mes efforts, quand mes compétences ne sont plus sollicitées et que je me découvre de moins en moins utile avec pourtant du temps à revendre et encore un peu d’énergie. Comment vivre sans s’accrocher désespérément à des responsabilités que des plus jeunes ou d’autres assument mieux? Quel sens donner à une vie qui rétrécit?
Quelques sages philosophes me parlent de vie nouvelle, d’une vie sans autre raison de vivre que celle de la vie elle-même. Oui, oui! Fini la tentation de vouloir désirer, espérer, performer, prospérer. Je ne veux être que vivante, capable de lire et de tenir un crayon pour écrire ou dessiner.
Je me promets de modifier mon modus operandi. Je vais calmer la vieillotte avec quelques lignes de poésie, quelques haïkus; je vais reprendre le dessin, les grandes balades en Mini, peut-être même en Gaspésie. En continuant d’observer et de décrire au jour le jour mes petits bonheurs, mes paniques, mes surprises et mes tendres oublis.
Assagie et consentante, je patiente jusqu’au moment où la lumière mourante du jour allumera les étoiles!
Cora
♥️
Franchises Cora Inc., chef de file des déjeuners au Canada, annonce avec fierté que la bannière comptera deux nouveaux restaurants dans l’Ouest canadien. Cette fois-ci, ce sont les villes de Medicine Hat en Alberta et de Brandon au Manitoba qui font rayonner le soleil Cora.
En juillet dernier, le restaurant de Medicine Hat a été inauguré. Il s’agit du vingtième restaurant à voir le jour dans la province de l’Alberta.
D’autre part, le restaurant de Brandon, quatrième établissement Cora au Manitoba, a ouvert ses portes en novembre dernier.
Les deux nouvelles franchises font partie du plan d’expansion pancanadien de la compagnie québécoise. Avec plus de 125 franchises, les restaurants Cora continuent d’offrir un menu diversifié de déjeuners et dîners colorés et un service de première qualité, le tout dans une chaleureuse atmosphère familiale.
Les restaurants Cora sont fiers d’annoncer que la marque devient désormais un partenaire de choix de la compagnie aérienne WestJet. En effet, le transporteur canadien offre dorénavant le déjeuner Cora dans sa cabine Privilège à bord de ses vols matinaux. Il s’agit d’une délectable marque de confiance à l’égard notre entreprise, la pionnière des restaurants de déjeuners au Canada!
WestJet propose, depuis le 26 juin, un déjeuner Cora sur la plupart de ses vols d’une durée de deux heures et demie et plus. Les plats offerts sont inspirés des repas déjà prisés des mordus des déjeuners Cora : les oeufs Ben et Dictine à la dinde fumée, la Cassolette de légumes et l’Omelette au cheddar vieilli et aux épinards avec saucisse à la dinde.
Il s’agit d’une savoureuse opportunité pour Cora déjeuners d’accroître sa notoriété et de faire découvrir son menu auprès d’un public voyageur en donnant aux passagers de WestJet la chance de savourer un déjeuner Cora dans la cabine Privilège du transporteur.
Bon voyage!
Franchises Cora inc., le chef de file canadien des petits-déjeuners, est fière d'annoncer qu'un autre soleil s'ajoute à sa bannière dans l'Ouest Canadien. Cette fois, c'est la ville de North Vancouver qui a vu le soleil se lever.
La grande pionnière et fondatrice, Cora Tsouflidou, était de la partie lors de la Grande ouverture. C'est lors de cette célébration qu'elle procède à la Cérémonie de la Première omelette, une tradition par laquelle la première omelette du restaurant est réalisée de manière tout à fait symbolique.
Cette nouvelle franchise fait partie du plan d’expansion pancanadien de la compagnie québécoise. Il s'agit du 10e restaurant Cora en Colombie-Britannique pour la plus grande chaîne de restaurants de déjeuners et dîners à travers le pays.
Avec plus de 130 franchises en fonction, Cora continue à offrir une gastronomie matinale spécialisée en déjeuners : une nourriture et un service de première qualité, le tout dans une chaleureuse atmosphère familiale.
L’année 2019 en est une de développement pour Franchises Cora inc., le chef de file canadien des déjeuners. L’entreprise fait rayonner son soleil symbolique dans les plus grandes villes au pays!
Deux autres restaurants ont ouvert leurs portes en mars. Comme dans bien des cas chez Cora, il s’agit d’une aventure familiale. Ainsi, le restaurant du quartier St. Vital, à Winnipeg, est géré par un couple de franchisés qui est tombé sous le charme des restaurants Cora, de leurs menus colorés et de tous les plats joliment agrémentés de fruits.
La plus récente ouverture est celle du second restaurant situé à Regina. Le franchisé a d’abord ouvert un premier Cora en novembre 2018. Fort de cette aventure, il s’est lancé dans le développement de son deuxième restaurant et a ouvert les portes de celui-ci le 18 mars dernier.
Les deux nouvelles franchises font partie du plan d’expansion pancanadien de la compagnie québécoise. Avec 130 restaurants en activité, Cora continue à offrir une gastronomie matinale spécialisée en déjeuners et poursuit sa mission d’offrir une nourriture et un service de qualité dans une chaleureuse atmosphère familiale.
Le leader canadien des petits-déjeuners ouvre deux nouveaux restaurants
Franchises Cora inc., le chef de file canadien des petits-déjeuners, est fière d'annoncer l'ouverture de deux nouveaux restaurants dans l'Ouest Canadien. L'Alberta a accueuilli un nouveau soleil Cora au centre-ville d'Edmonton alors que la Colombie-Britannique a célébré l'arrivée du restaurant dans la ville de Surrey.
La grande pionnière et fondatrice, Cora Tsouflidou, était de la partie lors des deux Grandes ouvertures en compagnie de différents dignitaires, influenceurs locaux et invités. C'est lors de cette grande célébration qu'elle procède à la Cérémonie de la Première omelette, une tradition par laquelle la première omelette du restaurant est réalisée de manière tout à fait symbolique.
Les deux nouvelles franchises font partie du plan d’expansion pancanadien de la compagnie québécoise. Il s'agit du 9e restaurant Cora en Colombie-Britannique et du 18e en Alberta pour la plus grande chaîne de restaurants de déjeuners et dîners à travers le pays.
Avec 130 franchises en opération, Cora continue à offrir une gastronomie matinale spécialisée en déjeuners : une nourriture et un service de première qualité, le tout dans une chaleureuse atmosphère familiale.