Très tôt dans l’histoire des restaurants Cora, peut-être au sixième ou septième restaurant ouvert en sol québécois, les gens de partout dans notre belle province se sont aperçus que nous existions. Les familles roulaient plusieurs kilomètres, traversaient des ponts et faisaient la file avant de pouvoir entrer chez nous.
S’attendant à voir un sublime Taj Mahal de la restauration, ces nouveaux clients s’engouffraient dans une bombance d’arômes de vanille, de pain doré et de cannelle sur les crêpes. Exorbités, leurs yeux cherchaient l’extravagance, la richesse sur les murs, dans la vaisselle ou dans l’uniforme excentrique des serveuses. Mais rien de tout cela n’existait! Rien d’autre que d’immenses sourires étalés sur chaque visage, des exclamations de joie s’envolant de chaque table et des assiettes de nourriture totalement hors du commun.
Dans un espace qu’on aurait cru bricolé par des ados inventifs, avec sur les murs les noms des plats en grosses lettres joliment dessinées, ce nouveau genre de restauration avait de quoi faire parler la clientèle. Sans compter qu’on n’y servait rien d’autre que des déjeuners et quelques plats du midi pour les travailleurs à proximité. Beau temps, mauvais temps, il fallait se dépêcher si on venait de loin, car le resto fermait chaque jour à trois heures de l’après-midi.
C’est ainsi qu’un immense brouhaha de compliments atteignit les grandes oreilles de « l’establishment » québécois.
— Qui était donc cette femme ni vieille ni jeune venant de nulle part? D’où arrivait ce nouveau concept de restauration exclusivement matinale? D’Europe ou des États-Unis?
— « De sa propre tête », répondit à son patron le directeur adjoint d’une compagnie d’assurance.
Je me souviens tellement de lui! Un splendide jeune homme qui, un certain dimanche, osa traverser le resto en affrontant les zigzags des serveuses entre les tables, les tourbillons d’assiettes dans leurs bras, et les silex de café gigotant entre les doigts inexpérimentés des commis débarrasseurs. Je me trouvais dans la cuisine d’un restaurant qui venait d’ouvrir et je surveillais les opérations. Mon cœur assoiffé d’amour emmagasinait surtout les éclats de plaisir exclamés autour de chaque table.
— Madame Cora, voici ma carte. Nous aimerions que vous veniez partager « la recette de votre succès » avec nos collègues agents d’assurance. Nous serions ravis de vous accueillir, car votre réputation vous précède.
Ce dimanche-là, après que l’homme m’eut saluée avec une main sur son cœur, mes neurones s’immobilisèrent, incapables de transmettre quoi que ce soit au reste bouillant de mon anatomie. Je cuisinais avec facilité. Je pouvais expliquer une recette à mon personnel comme on explique un jeu à un enfant. Mais parler en public à des gens remplis de tellement d’assurance qu’ils sont capables d’en vendre, c’était autre chose. Je me sentais comme si un lion venait d’entrer dans ma cage. J’avais peur. Et, pour dire franchement, je n’avais jamais réfléchi à la fameuse recette de notre succès.
Pourtant, le lendemain, un ange qui connaissait mon avenir s’introduisit dans ma tête et réactiva mon encéphale. Je me suis tout de suite souvenu du jour où j’ai décidé de cuisiner de vraies crêpes. Des crêpes, comme ma mère nous en préparait en Gaspésie. J’avais en tête l’épais liquide blanc qu’elle versait dans une grande poêle, le souvenir du croustillant de la crêpe sur ma langue et du goût savoureux explosant dans ma bouche. Je venais de comprendre le secret de mon succès : beaucoup de travail et de la bonne nourriture. L’analogie s’avérait juste et l’ange vaillant insista pour que je compare la recette de mon succès à la recette du mélange à crêpes de maman.
Voici donc cette fameuse recette expliquée des dizaines et des dizaines de fois devant des publics de tout acabit. Écoles, universités, cercles de femmes d’affaires, congrès d’entrepreneurs et autres grandes entreprises. J’ai même baragouiné en anglais pour une conférence TED que vous pouvez encore visionner sur YouTube!
Dans un grand bol à votre convenance (représentant l’espace physique, le contenant de votre idée ou de votre commerce) :
Cassez quelques œufs (symbolisant la vie et la créativité);
Versez assez de lait (représentant la rigueur et la spécialisation);
Ajoutez l’ingrédient qui doit se trouver en plus grande quantité dans le bol, la farine (signifiant le travail, la vaillance);
Assaisonnez d’une pincée de sel (désignant le doute, la réflexion). Attention, une petite quantité suffit pour rester humble mais en constante amélioration; en quantité excessive, le sel gruge l’entreprise tel un vilain ulcère;
Le dernier ingrédient, le plus important à utiliser abondamment, c’est votre dévouement tout entier. Il comprend votre engagement, votre passion, votre optimisme ainsi que votre entière personnalité.
Mélangez avec amour avec l’ADN de votre entreprise et de sa mission.
Il n’y a pas de mesure dans cette recette à succès. C’est vous qui représentez la tasse à mesurer. Il n’y a pas non plus de passoire pour tamiser la farine (le travail) ni de fouet pour violenter les œufs (la vie). Vous devez ajouter assez de créativité pour vous différencier des autres. Il faut vous concentrer sur votre spécialité sans vous laisser distraire par d’autres.
Très tôt, j’ai aperçu dans le sourire de nos clients cet éclat de plaisir aussi brillant qu’une étoile accoucheuse de succès. Le courage, la vaillance et la détermination aident l’entreprise à grandir. N’oubliez pas l’enthousiasme, car c’est le transport divin pour acheminer vos bonnes intentions! Finalement, lorsqu’arrive le succès à la chevelure argentée, lui-même se demande comment il a fait pour y arriver. Alors, tout comme moi, il cherche lui aussi une recette pour expliquer ses prouesses.
Réinventer l’art du déjeuner, offrir des plats originaux qui permettent aux gens de vivre des moments mémorables, ça fait partie de l’ADN des restaurants Cora depuis le premier matin, en mai 1987.
Cora
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Une liste de gratitude est une liste de remerciements adressés à tout ce qui vous rend heureux. Idéalement, elle doit être écrite ou prononcée au quotidien, et rendre hommage aux petits moments qui ont illuminé votre journée. Il s’agit de partir du sentiment de reconnaissance et de relever dans votre quotidien ce pour quoi vous vous estimez chanceux et reconnaissant.
Les experts disent que l’exercice est peut-être difficile au début, mais qu’on s’y habitue rapidement. Machinalement, on peut aussi remercier la vie tous les soirs en s’endormant et tous les matins en constatant qu’on est encore vivant.
J’ai personnellement mon petit rituel de gratitude. Chaque samedi après-midi après ma sieste, je me coule un énième café et j’ouvre mon cahier rose que je remplis de gros MERCIS. Oui, oui! J’ai découvert la gratitude, pourrais-je dire, pendant la pandémie. Au lieu de craindre de mourir, j’ai commencé à remercier l’univers d’être encore en vie. La peur s’est enfuie et j’ai tout doucement appris à reconnaître ce qui m’arrivait de bon.
Chaque jour, je peux exprimer ma reconnaissance d’être en vie! J’ai toujours une bonne raison pour dire merci à un ami, à une bonne idée et, surtout, à la folle du logis qui me garde alerte et inspirée.
Voici quelques phrases extraites de ma liste de gratitude :
– Merci l’ami! Tes gros bras et ta précieuse compagnie m’ont beaucoup aidée à installer dans mon salon deux nouvelles bibliothèques IKEA.
– Merci à mes enfants qui ont fait de moi une courageuse maman.
– Merci, chère Pénélope, c’est ton amour qui me garde en vie.
– Merci, chers petits-enfants qui me visitez et me tenez compagnie.
– Merci à la voisine généreuse qui m’a offert de si bonnes confitures!
– Merci à mes amis qui m’invitent à les accompagner à des sorties et des événements.
– Merci pour tous ces cafés savourés en bonne compagnie!
– Merci, cher Claude, d’avoir réparé le thermostat de mon plancher chauffant.
– Merci à l’ami Bruce avec qui j’entretiens toujours de sérieuses conversations.
– Merci à Marie-Pierre, l’hôtesse de l’air préférée de notre groupe d’amis, pour toutes ces délicieuses importations privées de chocolats, rapportées de ses voyages sur le Vieux Continent.
– Merci à la folle du logis qui m’inspire et gouverne mes pensées.
– Merci pour ma persévérance, ma patience et mon amour des mots.
– Merci pour mon âge avancé, à la sublime vie qui me garde forte et en santé.
– Merci à toutes ces années à vivre cette incroyable balade en traîneau.
– Merci pour la place bien au chaud que vous me réservez là-haut.
– Merci de me permettre de reconnaître tout ce qui est bon pour moi.
– Merci à l’ex-mari qui a été juste assez ignoble pour qu’enfin je me décide à le quitter.
– Merci à tous mes précieux lecteurs qui me suivent chaque semaine par le biais de mes lettres du dimanche.
– Merci pour tous les commentaires que vous m’écrivez semaine après semaine.
– Merci à la mer qui m’a nourrie toute ma vie et qui continue à le faire.
– Merci aux magnifiques hommes qui viennent embellir mes rêves et nourrir mes espoirs.
– Merci à mes dix doigts qui, même s’ils sont usés, continuent à me donner le plaisir de faire à manger pour mes enfants, mes petits-enfants et, quelquefois même, pour mes collègues de travail au siège social de l’entreprise.
Depuis que je m’exerce à cette énumération de mercis à l’univers, j’ai toujours hâte à demain pour découvrir ce que j’apprends à mieux apprécier.
« VERBA VOLANT, SCRIPTA MANENT. »
Les paroles s’envolent et les écrits restent.
Cora
♥️
L’autre soir, ce corps vieilli rêvait à la mort. Il s’enroulait dans les draps, tournait sur lui-même et sa tête avait peur, très peur; elle imaginait le pire.
Tel un animal blessé, ce corps respirait à petites goulées. Tout meurt à la longue, essayait-il de se dire. Trop tôt, trop tard, il n’arrivait pas à prier. Pourquoi la nuit lui semblait-elle si longue? Était-ce la mort qui frappait si fort? Le cahoteux va-et-vient de son cœur l’apeurait.
Ce corps magané allait vivre jusqu’à cent ans, disait-il jadis à qui voulait l’entendre. Et voilà qu’entre les draps, ce soir-là, la mort rôdait. Tel un condor à cou blanc, un vautour imaginaire surveillait sa proie.
Si je savais écrire comme nagent les dauphins, j’aurais ce matin une véritable histoire à vous présenter. Et pourtant, l’heure arrive qu’il faille affranchir mes doigts, sauter la clôture de la logique, délier les entourloupettes du quotidien et plonger tête première dans un océan de strophes nouvelles.
Il y a ce corps vieilli, cette chair ternie
Ces jambes croulantes, ces bras qui me hantent
Ce cou fendillé, ces veines bombées
Ce front flétri, cette peau décatie
Ces yeux fatigués, ces iris délavés
Ces joues aplaties, ces sourires tiédis
Ce ventre malmené, stigmates érodés
Ces mamelles fripées, ces tétines fanées
Ces mains chamarrées, ces veinures bleutées
Ces doigts recourbés, l’un sur l’autre grimpés
Ces orteils cabossés, grands pieds fatigués
Cette taille ventrue, apparence foutue
Ce dos maladroit transporte sa croix
L’âge avance comme un loup et me dévore
Je cours, je cours et je crie « au secours »
Quoiqu’il arrive, je suis à la dérive
Dans la tanière du temps, je n’entends que le vent
Solitude inévitable, toute seule à la table
Do, ré, mi, fa, sol, la, si; je m’engourdis
Je sens la mort mûrir en moi, tel un fruit qui s’agrippe, un soleil qui persiste
Mes sens se taisent, mon cœur s’apaise
Un parfum de framboises s’attarde dans mon cou
Je peine et je pleure, elle arrive mon heure
M’endormir comme Ophélie, eau de rose plein mon lit
Dernières volontés, premières pelletées
Je ne verrai plus le printemps ni l’automne rosi, ni l’hiver endormi
Lentement ma mémoire s’abêtit
J’oublie mon nom, mon âge et la couleur de ce qu’était ma vie
Je suis forte, je suis morte
Il y a ce petit bruit de fourmi qui s’arrête à la fin
Cora
♥️
MAMAN
Cette vaillante Gaspésienne qui me donna naissance. Elle mourut plutôt jeune dans un terrible accident de voiture. Par miracle, mes trois jeunes enfants qui l’accompagnaient s’en sont sortis indemnes. À la morgue, j’ai vu son corps et j’ai dû identifier son beau visage atrocement défiguré. Lors de ses funérailles, une tante me révéla un secret à propos de ma mère, et je compris enfin qu’elle avait vécu toute sa vie avec l’âme en peine. Jeune adulte, l’église et sa famille lui avaient interdit d’épouser le bel homme protestant qu’elle aimait éperdument. Le malheur a rongé son cœur, troublé son esprit et ravagé son corps d’eczéma, particulièrement ses mains.
PAPA
Cet homme de peu de mots, plus triste que l’automne. Lui aimait maman comme un fou et elle ne l’aimait pas. Chaque soir, après le souper, papa s’assoyait dans son large fauteuil. Il ouvrait le petit tourne-disque et écoutait « O sole mio » de Mario Lanza. Je n’ai qu’à penser à papa et je revois de grosses larmes déboulant sur ses joues. Maman qui gueulait, papa qui pleurnichait. Il m’arrivait d’essayer de comprendre comment les êtres s’accouplaient.
ÉCRITURE
Rapidement dans mon enfance, l’écriture devint mon ultime consolation. Au sous-sol de la petite maison de Caplan, je descendais quelques marches, je tirais sur un fil et la lumière jaillissait. Je composais de courtes phrases sur l’envers des feuilles de vieux calendriers que maman conservait pour nous. Des mots qui rimaient avec d’autres, une strophe de quatre vers; un court poème. Je découvrais la beauté et la puissance des mots.
LECTURE
Mon refuge et ma plus grande occupation! Jeune collégienne, je lisais à outrance l’histoire du monde, les classiques, y compris l’impressionnante mythologie grecque, et tout ce qui me tombait sous la main de plus moderne. Je raffolais des poètes maudits : Baudelaire, Verlaine et Alfred de Vigny. Plus tard, je me suis abandonnée aux livres de recettes et à tous les manuels qui concernaient l’art de réussir en affaires. Lorsque j’ai retrouvé le bonheur de lire pour le simple plaisir, je me suis adonnée aux biographies et j’ai renoué avec la poésie et les romans. J’ai conservé la manie de ne lire qu’un seul livre à la fois et je n’hésite pas à renoncer à un ouvrage médiocre, décevant ou inutile. Il y a tant d’autres volumes à dévorer!
MOTS
Les beaux mots sont comme des êtres vivants, comme des pépites d’or à privilégier dans un texte. En écrivant, j’essaie toujours d’éviter les trop longues phrases, les adverbes saugrenus; les grands fainéants de mots ou les navets pourris.
CAFÉ
Que je me trouve assise à ma table de cuisine, au bureau en train d’assister à une réunion, dans un resto avec mes amis ou installée sur mon sofa rouge à faire un brin de lecture, vous remarquerez assurément une tasse de café à mes côtés. C’est aussi certain que le soleil se lèvera demain! Je le bois avec un lait ou une crème et sans sucre puisque, durant mes années de restauratrice, le temps me manquait pour le préparer avec fioritures. Je savoure ce liquide exquis à outrance, au moins six à huit fois par jour.
RÉUSSITE
Ma vie professionnelle a réellement commencé par le besoin de survivre et de nourrir mes enfants. Si j’exploitais un restaurant, nous aurions forcément de quoi manger. La réussite est apparue en 1987, dans un tout petit bouiboui de 29 places. J’ai dessiné un magnifique soleil jaune tout souriant. « Un véritable logo », comme disent les savants. Un soleil illuminant aujourd’hui plus de 125 restaurants franchisés à travers notre grand pays.
LUNETTES
J’ai toujours aimé fabriquer mes colliers, mes bracelets et mes broches. Je le faisais parce que mon budget ne me permettait pas de m’en acheter, puis parce que j’étais créative et que j’avais le loisir de le faire. J’adore m’habiller avec toutes sortes de couleurs extravagantes et d’accessoiriser mon ensemble au complet ton sur ton, des chaussettes au chandail, en passant par l’occasionnel bandeau dans les cheveux, la montre et le pantalon. Oui, oui! J’ose la couleur, car elle me garde vivante. Vous trouveriez sans doute que ma garde-robe ressemble surtout à une grosse boîte de crayons Laurentien 24 couleurs. Je raffole des lunettes et j’en ai de presque toutes les couleurs à force de visiter les marchés aux puces pour dénicher des montures rétro.
AMOUR
Ce grand inconnu! Quelques jolis hommes auraient peut-être voulu m’approcher. À vingt ans, la vie m’avait déjà casée. Sans un souffle d’amour entre les époux, comme ma pauvre maman. Une fois divorcée, je ne cherchais plus l’amour, mais la réussite. Je n’ai pas pris le temps de découvrir l’amour tandis que je travaillais à faire rayonner mon soleil dans de plus en plus de villes canadiennes. Maintenant vieillotte, je cherche le beau poète qui pourrait bien me réciter quelques belles lignes avant que je ne m’endorme.
PROVIDENCE
J’ai toujours cru à « l’aide d’en haut », surtout à la divine providence qui me guide avec sagesse, confiance et amour. Encore aujourd’hui, plus mûre que la pomme en compote, je vis, j’écris, j’essaie toujours d’ennoblir chacune de mes lignes en ayant une prière et un mot de remerciement pour le grand manitou.
VIEILLIR
Cette satanée vieillesse me fait penser au célèbre bonhomme Sept Heures de mon enfance! Elle peut nous miner et nous mener par la peur. « VIEILLIR, C’EST CHIANT », lâchait le célèbre Bernard Pivot, celui que je rêvais de rencontrer. « Vieillir, c’est désolant, disait-il. C’est insupportable, c’est douloureux, c’est horrible, c’est déprimant, c’est mortel! Mais j’ai préféré “chiant” parce que c’est un adjectif vigoureux qui ne fait pas triste. Vieillir, c’est chiant parce qu’on ne sait pas quand ça a commencé et l’on sait encore moins quand ça finira ».
Cora
♥️
Franchises Cora Inc., chef de file des déjeuners au Canada, annonce avec fierté que la bannière comptera deux nouveaux restaurants dans l’Ouest canadien. Cette fois-ci, ce sont les villes de Medicine Hat en Alberta et de Brandon au Manitoba qui font rayonner le soleil Cora.
En juillet dernier, le restaurant de Medicine Hat a été inauguré. Il s’agit du vingtième restaurant à voir le jour dans la province de l’Alberta.
D’autre part, le restaurant de Brandon, quatrième établissement Cora au Manitoba, a ouvert ses portes en novembre dernier.
Les deux nouvelles franchises font partie du plan d’expansion pancanadien de la compagnie québécoise. Avec plus de 125 franchises, les restaurants Cora continuent d’offrir un menu diversifié de déjeuners et dîners colorés et un service de première qualité, le tout dans une chaleureuse atmosphère familiale.
Les restaurants Cora sont fiers d’annoncer que la marque devient désormais un partenaire de choix de la compagnie aérienne WestJet. En effet, le transporteur canadien offre dorénavant le déjeuner Cora dans sa cabine Privilège à bord de ses vols matinaux. Il s’agit d’une délectable marque de confiance à l’égard notre entreprise, la pionnière des restaurants de déjeuners au Canada!
WestJet propose, depuis le 26 juin, un déjeuner Cora sur la plupart de ses vols d’une durée de deux heures et demie et plus. Les plats offerts sont inspirés des repas déjà prisés des mordus des déjeuners Cora : les oeufs Ben et Dictine à la dinde fumée, la Cassolette de légumes et l’Omelette au cheddar vieilli et aux épinards avec saucisse à la dinde.
Il s’agit d’une savoureuse opportunité pour Cora déjeuners d’accroître sa notoriété et de faire découvrir son menu auprès d’un public voyageur en donnant aux passagers de WestJet la chance de savourer un déjeuner Cora dans la cabine Privilège du transporteur.
Bon voyage!
Franchises Cora inc., le chef de file canadien des petits-déjeuners, est fière d'annoncer qu'un autre soleil s'ajoute à sa bannière dans l'Ouest Canadien. Cette fois, c'est la ville de North Vancouver qui a vu le soleil se lever.
La grande pionnière et fondatrice, Cora Tsouflidou, était de la partie lors de la Grande ouverture. C'est lors de cette célébration qu'elle procède à la Cérémonie de la Première omelette, une tradition par laquelle la première omelette du restaurant est réalisée de manière tout à fait symbolique.
Cette nouvelle franchise fait partie du plan d’expansion pancanadien de la compagnie québécoise. Il s'agit du 10e restaurant Cora en Colombie-Britannique pour la plus grande chaîne de restaurants de déjeuners et dîners à travers le pays.
Avec plus de 130 franchises en fonction, Cora continue à offrir une gastronomie matinale spécialisée en déjeuners : une nourriture et un service de première qualité, le tout dans une chaleureuse atmosphère familiale.
L’année 2019 en est une de développement pour Franchises Cora inc., le chef de file canadien des déjeuners. L’entreprise fait rayonner son soleil symbolique dans les plus grandes villes au pays!
Deux autres restaurants ont ouvert leurs portes en mars. Comme dans bien des cas chez Cora, il s’agit d’une aventure familiale. Ainsi, le restaurant du quartier St. Vital, à Winnipeg, est géré par un couple de franchisés qui est tombé sous le charme des restaurants Cora, de leurs menus colorés et de tous les plats joliment agrémentés de fruits.
La plus récente ouverture est celle du second restaurant situé à Regina. Le franchisé a d’abord ouvert un premier Cora en novembre 2018. Fort de cette aventure, il s’est lancé dans le développement de son deuxième restaurant et a ouvert les portes de celui-ci le 18 mars dernier.
Les deux nouvelles franchises font partie du plan d’expansion pancanadien de la compagnie québécoise. Avec 130 restaurants en activité, Cora continue à offrir une gastronomie matinale spécialisée en déjeuners et poursuit sa mission d’offrir une nourriture et un service de qualité dans une chaleureuse atmosphère familiale.
Le leader canadien des petits-déjeuners ouvre deux nouveaux restaurants
Franchises Cora inc., le chef de file canadien des petits-déjeuners, est fière d'annoncer l'ouverture de deux nouveaux restaurants dans l'Ouest Canadien. L'Alberta a accueuilli un nouveau soleil Cora au centre-ville d'Edmonton alors que la Colombie-Britannique a célébré l'arrivée du restaurant dans la ville de Surrey.
La grande pionnière et fondatrice, Cora Tsouflidou, était de la partie lors des deux Grandes ouvertures en compagnie de différents dignitaires, influenceurs locaux et invités. C'est lors de cette grande célébration qu'elle procède à la Cérémonie de la Première omelette, une tradition par laquelle la première omelette du restaurant est réalisée de manière tout à fait symbolique.
Les deux nouvelles franchises font partie du plan d’expansion pancanadien de la compagnie québécoise. Il s'agit du 9e restaurant Cora en Colombie-Britannique et du 18e en Alberta pour la plus grande chaîne de restaurants de déjeuners et dîners à travers le pays.
Avec 130 franchises en opération, Cora continue à offrir une gastronomie matinale spécialisée en déjeuners : une nourriture et un service de première qualité, le tout dans une chaleureuse atmosphère familiale.