J’ai lu quelque part que « la manière dont nous racontons notre histoire a une grande influence sur notre bonheur ». Donc ce matin, j’arrête de me lamenter et je contemple le bleu paradisiaque du ciel. Bien sûr, comme tout le monde mordant dans la vie, j’aurais voulu rencontrer un artiste, un poète, un oiseau rare qui vole très haut, mais j’avais déjà trois enfants et les deux pieds cloués sur terre. Avec le cœur et la charpente à l’ouvrage pendant tellement d’années, je le confesse, les chiffres à cette époque étaient beaucoup plus importants que les hommes et les mots.
C’est ainsi que j’ai mûri sans m’en apercevoir jusqu’à ce qu’arrivent dans ma vie ces deux terribles chipies (Retraite et Vieillesse) dont je vous ai déjà parlé. Avec l’âge pour sûr, s’amène aussi dame Solitude. On perd des plumes, on perd des proches, des amis, des sœurs ou des maris, et l’on se retrouve le bec à l’eau. Vous vous souvenez d’avril 2020, la peur du siècle déguisée en horrible virus? Le temps de crier gare, j’étais esseulée, apeurée, encabanée entre les montagnes avec juste mes mots pour me tenir compagnie.
La sorcière COVID raffermit mon vide et m’apprit à me taire. J’avais peur de mourir. Heureusement que sur mon toit tout noir, des dizaines de corneilles piaillaient et attiraient mon attention. Je leur lançais des croûtes de pain et elles s’approchaient de ma galerie. Ces premières copines de solitude m’ont gardé en vie. J’en vins à parler aux fourmis, aux vers de terre et à la grosse marmotte vivant sous ma galerie. La chaleur aidant, je m’installais chaque avant-midi dans le gazon et j’attendais l’arrivée des pissenlits.
Pendant que l’affreux virus ignorait encore mon adresse, à la télé chaque soir, on comptait le nombre de vieux s’envolant par la fenêtre. J’ai eu peur, j’ai eu soif; je revoyais en rêve les jolis ruisseaux de mon enfance. Puis l’été explosa en beauté. Des arcs-en-ciel joliment colorés paradèrent dans les rues. Je sors marcher. Devant moi, un vieux couple collé, soudé ensemble pour mieux avancer. Comme je les envie! J’entends le bruissement des branches s’étirant au soleil; l’effervescence des abeilles; le doux parfum des fleurs. Levant ma tête bien haut, j’admire une parade d’outardes m’écrivant des mots dans le bleu pâle du ciel.
Les semaines passent et le pire expire. « N’en parlez plus », répète une speakerine américaine à la télé. Vite, vite, j’ouvre mon clavier et mes doigts s’affairent d’abord à remercier l’univers d’être encore en vie. J’écris aux anges et j’emmitoufle mes lignes dans du papier doré, puis je console tout ce qui bouge autour de moi. Avec mes mots qui volent, mes phrases qui s’envolent, une nouvelle vie s’écrit comme un roman que l’on a enfin envie de lire.
J’aime créer du sens en donnant vie aux mots. J’adore commencer un paragraphe tout doucement comme on entre dans l’eau d’une rivière, puis plonger tête première dans une révélation. Oui, oui! Très chers lecteurs, c’est exactement ainsi qu’arrivèrent les LETTRES DU DIMANCHE. Dans la cuisine de ma tête, je me suis mise à composer de savoureux déjeuners de mots. De courtes histoires pour vous mettre en appétit, des recettes faciles à faire de caramel maison, de sucre à la crème et de délicieux gâteaux. Plus les dimanches arrivaient vite et plus ma verve s’enthousiasmait. Mon cœur rempli d’amour se réjouissait d’être en votre bonne compagnie.
Sans vraiment le réaliser, j’ai fait ce que je sais faire depuis que je suis toute petite : ÉCRIRE. Alors, je vous ai écrit; d’abord mes recettes et ensuite la belle histoire de notre entreprise, et par ricochet l’entière saga de ma surprenante vie. Oui, oui! Je me suis avancée dans la mer jusqu’à la taille, jusqu’aux épaules, jusqu’au large bien souvent. Vous m’avez suivie; vous m’avez aimée. Vous avez peinturé en rose toutes les taches brunes de mon corps. Vous avez fait de mon cœur un phare, un bouquet de minuscules lumières irradiant mes lignes.
Sachez que le fait d’écrire ces LETTRES DU DIMANCHE a réveillé l’écriture qui sommeillait en moi. J’ai découvert que mon plus grand plaisir consiste à aligner des mots; à jeter sur la page une histoire à peine construite dans ma tête et à l’écrire à l’encre noire en écarquillant bien mes yeux. Ma mémoire est un réel coffre aux trésors; un album de photos bien vivantes. Invitant dame Créativité et dame Inspiration, sur la blancheur de la page, je dépose le griffonnage du temps.
En me lisant, vous m’apprenez à mieux écrire.
Cora
❤
Comme nous sommes tous des restaurateurs et d’excellents cuisiniers dans la famille, notre brunch de Pâques fut, sans vantardise, une table d’exception! Oui, oui! Ce fut d’abord ma petite fille qui disposa sur la grande table trois magnifiques plateaux de fruits joliment coupés et garnis de fraises, de framboises, de cerises et de bleuets. Vite, vite, tous les jeunes enfants grimpèrent sur leur chaise et étirèrent leurs bras vers les plateaux colorés. Quelques minutes plus tard, ils avaient les joues bleu-rose et leurs petits tabliers tachetés de jus de framboise.
J’avais moi-même préparé le mélange à pain doré et l’appareil à crêpes, mais dès que ma fille entra dans la cuisine, c’est elle qui prit le commandement des opérations. Il lui restait à assembler les différentes composantes de chaque service. Avec sa fille à ses côtés, elles firent d’abord cuire une vingtaine de crêpes composées de différentes garnitures : épinards-feta, jambon et fromage suisse, bacon-cheddar et les délicieuses crêpes aux pommes badigeonnées de notre caramel maison qu’elles gardèrent au chaud sur le réchaud du poêle.
Ma fille et sa fille s’occupèrent ensuite de faire rôtir toutes les viandes du traditionnel déjeuner québécois et les mirent sur la table avec une grosse soupière de fèves aux lard, une belle grande assiette de saumon fumé garnie de câpres et d’oignons rouges, un gros bol de patates rôties, mes fameux cretons ainsi qu’un bel assortiment de confitures maison : fraises, framboises, bleuets, oranges et marmelade d’agrumes. J’ai depuis longtemps la main habile pour les confitures. Je ne mesure jamais rien et c’est mon doigt du milieu, le majeur, qui me dit quand il faut éteindre le feu. Je réussis à tout coup!
Lorsqu’arriva l’heure de griller les différents pains, toasts, bagels, et délicieux croissants, les deux garçons de mon plus vieux étaient au poste. Ils dressèrent des carrés de beurre dans de petites assiettes et les disposèrent devant chaque couvert. Puis, la quinzaine d’adultes s’installa à la table et le festin débuta. Ayant bu plusieurs cafés en jasant, ils se ruèrent sur le jus d’orange. Ciel! Je me souviens encore de ce fameux jus d’orange que j’interdisais aux employés et à mes enfants de boire lorsqu’ils travaillaient. À l’époque, ce jus importé directement de la Floride était dispendieux et précieux. Personne n’en buvait sauf les clients qui payaient.
J’étais pauvre comme Job lorsque, en 1987, j’ai ouvert notre premier petit resto. C’était un vieux casse-croûte déglingué, fermé depuis deux ans, et rempli de toiles d’araignées. Je m’en souviens comme si c’était hier : 29 places assises que j’avais pu acheter en vendant notre maison de banlieue. Je ne pourrai jamais comprendre pourquoi, mes jeunes enfants et moi, nous sommes tout de suite tombés en amour avec cet endroit.
Peut-être était-ce pour eux une nouvelle aventure? Peut-être était-ce pour moi l’opportunité d’une brillante destinée? Il fallut frotter, nettoyer, peinturer, coudre quelques jolis tabliers et écrire notre menu sur les murs. Jamais, à cette époque, je n’aurais pu imaginer qu’un exceptionnel concept de restauration matinal allait sortir de mes méninges. Déménagés dans un troisième étage d’une rue commerciale de Montréal, à proximité du bouiboui, les enfants se sont habitués aux bruits de la ville, aux transports en autobus et aux nuits blanches que maman passait à inventer de nouveaux déjeuners.
Aux fourneaux, ma fille et sa fille sont prêtes à prendre les commandes d’omelettes. Elles ont sur le comptoir à côté d’elles une quinzaine de petits bols contenant les différentes garnitures à omelettes. Et vlan, le service se fait rondement! À les entendre, on croirait que tous les adultes n’ont rien mangé depuis trois jours! Assise au bout de la table, mes yeux espionnent le faciès de chacun. Ils ont faim, ils ont soif, ils mangent avec appétit.
Mon fils le plus vieux félicite les cuisinières et les remercie chaleureusement. Avant même d’avoir reçu son assiette principale, il se propose pour faire la vaisselle et sa compagne le seconde. Cette très chère Josée est aussi une bonne cuisinière, elle excelle notamment à cuire les viandes, et son homme, gros mangeur, est comblé.
Tous les convives sont contents. Les petits ayant mangé plus tôt, ils courent dans la grande maison, jouent à la cachette et s’amusent avec les bricoles que leur grand-père (mon plus vieux) leur amène à chaque visite. Tous les adultes se resservent du café en jasant comment s’ils ne s’étaient pas vus depuis dix ans. Puis Josée quitte la table et m’exhorte à rester assise.
- « Vous en avez assez fait, belle-maman! Je m’occupe de la vaisselle. »
Lorsque finalement les conversations tiédissent, les enfants de mes enfants se lèvent et dévalisent les restants, comme chaque fois qu’ils viennent chez grand-maman! C’est encore ma fille et sa fille qui s’occupent d’emballer les viennoiseries, les crêpes, les viandes, les fèves au lard, les fromages et tout ce qui reste sur la table. C’est à qui prendra ce qu’il aime le plus! Lorsque la table est vide, le poêle et les comptoirs nettoyés, les jeunes aident à la vaisselle. Vite, vite, la cuisine brille et les adultes déménagent au salon. Il est temps de digérer, de parloter, et de me redire encore combien c’était bon. Je n’ai presque aucun mérite, j’ai juste à les rassembler. À Noël, à Pâques et à la fête d’un arrière-petit-fils.
Combien de brunches de Pâques pourrai-je encore animer? Le temps passe tellement vite! Trois courtes années et j’aurai 80 ans sonnés. Peut-être aurai-je aussi les doigts croches, les rotules fêlées et la mémoire en cavale? J’oublierai ma superbe recette de cretons, l’âge de mes arrière-petits-fils et peut-être l’adresse de ma belle-fille? D’ici là, j’ai encore toute ma tête et j’entends bien profiter de chaque occasion pour nous réunir et célébrer!
Cora
❤
Une liste de gratitude est une liste de remerciements adressés à tout ce qui vous rend heureux. Idéalement, elle doit être quotidienne et rendre hommage aux petits moments qui ont illuminé votre journée. Il s’agit de partir du sentiment de reconnaissance et de relever dans votre quotidien ce pour quoi vous vous estimez chanceux et reconnaissant.
Les experts disent que l’exercice est peut-être difficile au début, mais qu’on s’y habitue rapidement. Machinalement, on peut aussi remercier la vie tous les soirs en s’endormant et tous les matins en constatant qu’on est encore vivant.
J’ai personnellement mon petit rituel de gratitude. Chaque samedi après-midi après ma sieste, je me coule un énième café et j’ouvre mon cahier rose que je remplis de gros MERCIS. Oui, oui! J’ai découvert la gratitude, pourrais-je dire, pendant la pandémie. Au lieu de craindre de mourir, j’ai commencé à remercier l’univers d’être encore en vie. La peur s’est enfuie et j’ai tout doucement appris à reconnaître ce qui m’arrivait de bon.
Toutes mes journées d’écriture sont différentes, mais je peux affirmer chaque jour que je suis reconnaissante d’être en vie! J’ai toujours une bonne raison pour dire merci à un ami, à une bonne idée et surtout, à la folle du logis qui me garde alerte et inspirée.
Voici quelques phrases extraites de ma liste de gratitude :
– Merci l’ami! Tes gros bras et ta précieuse compagnie m’ont beaucoup aidée à installer dans mon salon deux nouvelles bibliothèques IKEA.
– Merci à mes enfants qui ont fait de moi une courageuse maman.
– Merci, chère Pénélope, c’est ton amour qui me garde en vie.
– Merci à la voisine généreuse qui m’a donné de si bonnes confitures!
– Merci à mes amis qui m’invitent à les accompagner à des sorties et des événements.
– Merci pour tous ces cafés savourés en bonne compagnie!
– Merci, cher Claude, d’avoir réparé le thermostat de mon plancher chauffant.
– Merci à Stephen l’Irlandais qui m’a accompagnée au lunch annuel de la Saint-Patrick et à ma bonne amie de nous avoir invités.
– Merci à l’ami Bruce avec qui j’entretiens toujours de sérieuses conversations.
– Merci à Marie-Pierre, l’hôtesse de l’air préférée de notre groupe d’amis, pour toutes ces délicieuses importations privées de chocolats, rapportées de ses voyages sur le vieux continent.
– Merci pour cette précieuse inspiration qui me vient d’en haut.
– Merci à la folle du logis qui m’inspire et gouverne mes pensées.
– Merci pour ma persévérance, ma patience et mon amour des mots.
– Merci pour mon âge avancé, à la sublime vie qui me garde forte et en santé.
– Merci le temps pour cette incroyable balade en traîneau.
– Merci pour la place bien au chaud que vous me réservez là-haut.
– Merci pour cet hiver si doux, pour la neige si blanche et le ciel si bleu.
– Merci la vie de pouvoir reconnaître tout ce qui est bon pour moi.
– Merci à l’ex-mari qui a été juste assez ignoble pour qu’enfin je me décide à le quitter.
– Merci à tous mes précieux lecteurs qui me suivent chaque semaine par le biais de mes lettres du dimanche.
– Merci pour tous les commentaires que vous m’écrivez semaine après semaine.
– Merci à ceux qui ont acheté mon livre, Cora l’ordinaire endimanché, et qui viennent m’en parler!
– Merci à la mer qui m’a nourrie toute ma vie et qui continue à le faire.
– Merci aux magnifiques hommes qui viennent embellir mes rêves et nourrir mes espoirs.
– Merci à mes dix doigts qui, même s’ils sont usés, continuent à me donner le plaisir de faire à manger pour mes enfants, mes petits-enfants et quelquefois même pour mes collègues de travail au siège social de l’entreprise.
Depuis que je m’exerce à cette énumération de mercis à l’univers, j’ai toujours hâte à demain pour découvrir ce que j’apprends à mieux apprécier.
VERBA VOLANT, SCRIPTA MANENT.
Les paroles s’envolent et les écrits restent.
Cora
❤
Avez-vous, comme moi, constaté à quel point l’incessant va-et-vient des jours nous empêche de réfléchir à notre mort? Je fêterai mes 77 ans le 27 mai prochain et parce que le chiffre sept a toujours été mon préféré, j’en prendrais encore deux ou trois sans être trop gourmande. Fêter mes 77, 87 et 97 ans me comblerait de bonheur! Après, si Dieu le veut, je m’envolerai. Sachez-le : j’ai carrément l’intention de faire rimer vieillissement avec épanouissement de mon vivant!
Tout endimanchée de rose ce matin, je sens que mon cœur a encore 20 ans. Mes doigts filent à tire d’ailes sur le clavier et m’inventent des amourettes simplement pour apprécier l’instant présent. Le sourire d’un beau mâle, un compliment sur ma tenue, la voisine qui m’offre des biscuits, tout m’éblouit. Vieillir heureux et heureuse est peut-être la clé de la longévité.
À cet effet, chers lecteurs, j’épluche depuis quelques semaines de sérieux magazines parlant de notre dernière heure et je note tous les précieux conseils qui auront un effet positif sur notre avenir à long terme. Sans vouloir sembler moralisatrice, permettez-moi de les partager avec vous en utilisant mes mots de tous les jours.
N’ayons pas peur de vieillir, aimons notre âge et célébrons nos anniversaires.
Jetons par la fenêtre la lente perte d’autonomie, la baisse de vitalité et l’ennui.
Transformons notre monotonie quotidienne en une célébration de la vie. Vivre longtemps est un don du ciel; une opportunité à saisir, maintenant ou jamais.
Additionnons les bonnes journées que nous passons, car c’est ce que nous avons de plus précieux. Transmettons aussi à nos proches cette sagesse pour qu’ils puissent apprendre de notre exemple avant même que cela ne les concerne.
Offrons-nous l’occasion de vivre chaque jour au moins un événement qui a de l’importance à nos yeux. Apprendre un nouveau mot, rendre visite à un ami, poser un geste de bonté envers soi-même.
Osons faire preuve d’optimisme. Aborder le changement émerveillé plutôt qu’inquiet nous permet de rester curieux et enthousiastes face à l’avenir. Écrivons les cinq nouvelles choses que nous souhaiterions accomplir cette année.
N’ayons pas peur. Avec le temps nos capacités se multiplient. Souvenons-nous des cinq ou six savoir-faire les plus importants que nous avons développés durant notre existence.
Plus nous avançons en âge, plus nous nous dirigeons vers des terres inconnues. Nous avons gagné le droit d’explorer librement le reste de notre vie, sans limites et sans hésitation. Il est toujours temps de changer notre modus operandi.
Ouvrons-nous aux autres, considérons nos meilleurs amis comme des membres de notre famille. Nommons-en trois ou quatre capables de devenir aussi notre filet de sécurité. Donnons-leur la priorité.
Apprenons quelque chose de nouveau et partageons nos connaissances avec eux. Accordons-leur le droit de nous apprendre quelque chose en retour.
Faisons de l’exercice sans y penser; pédalons en regardant la télé. Sortons de la maison sans aucun prétexte. Promenons-nous dans la nature et admirons le paysage. Laissons notre montre intelligente calculer nos pas.
Mangeons lentement et, si possible, en bonne compagnie. Porter attention à ce que nous avalons permet de manger moins et de savourer davantage.
Simplifions-nous la vie. Faisons le tri dans nos placards et donnons ce que nous ne voulons plus. Allégeons-nous. Les oiseaux volent parce qu’ils n’ont pas de bagage.
N’hésitons plus, laissons parler nos émotions. Éric Simard, docteur en biologie et chercheur, croit qu’il s’agit du facteur qui aurait le plus gros impact sur la longévité humaine. L’expert dit aussi que fréquenter la famille et les amis augmente l’espérance de vie.
Avant de nous envoler, guérissons toutes ces blessures de l’âme qui nous ont rendus misérables. Blessure de rejet, d’abandon, de trahison, d’injustice ou d’humiliation, je les ai toutes un peu subies. À une certaine époque, j’ai dû lire l’excellent livre à succès de Lise Bourbeau intitulé « Les 5 blessures qui empêchent d’être soi-même » pour m’en sortir.
Il n’est jamais trop tard pour corriger nos bévues ni pour apprendre de meilleures façons de vivre. Moi la première, vieillotte encore forte, je m’invente mille détours pour supposément trouver l’amour.
Très chers lecteurs, je badine, je rigole, j’essaie essentiellement de vous plaire avec mes millions de mots d’amour.
Cora
❤
Les restaurants Cora sont fiers d’annoncer que la marque devient désormais un partenaire de choix de la compagnie aérienne WestJet. En effet, le transporteur canadien offre dorénavant le déjeuner Cora dans sa cabine Privilège à bord de ses vols matinaux. Il s’agit d’une délectable marque de confiance à l’égard notre entreprise, la pionnière des restaurants de déjeuners au Canada!
WestJet propose, depuis le 26 juin, un déjeuner Cora sur la plupart de ses vols d’une durée de deux heures et demie et plus. Les plats offerts sont inspirés des repas déjà prisés des mordus des déjeuners Cora : les oeufs Ben et Dictine à la dinde fumée, la Cassolette de légumes et l’Omelette au cheddar vieilli et aux épinards avec saucisse à la dinde.
Il s’agit d’une savoureuse opportunité pour Cora déjeuners d’accroître sa notoriété et de faire découvrir son menu auprès d’un public voyageur en donnant aux passagers de WestJet la chance de savourer un déjeuner Cora dans la cabine Privilège du transporteur.
Bon voyage!
Franchises Cora inc., le chef de file canadien des petits-déjeuners, est fière d'annoncer qu'un autre soleil s'ajoute à sa bannière dans l'Ouest Canadien. Cette fois, c'est la ville de North Vancouver qui a vu le soleil se lever.
La grande pionnière et fondatrice, Cora Tsouflidou, était de la partie lors de la Grande ouverture. C'est lors de cette célébration qu'elle procède à la Cérémonie de la Première omelette, une tradition par laquelle la première omelette du restaurant est réalisée de manière tout à fait symbolique.
Cette nouvelle franchise fait partie du plan d’expansion pancanadien de la compagnie québécoise. Il s'agit du 10e restaurant Cora en Colombie-Britannique pour la plus grande chaîne de restaurants de déjeuners et dîners à travers le pays.
Avec plus de 130 franchises en fonction, Cora continue à offrir une gastronomie matinale spécialisée en déjeuners : une nourriture et un service de première qualité, le tout dans une chaleureuse atmosphère familiale.
L’année 2019 en est une de développement pour Franchises Cora inc., le chef de file canadien des déjeuners. L’entreprise fait rayonner son soleil symbolique dans les plus grandes villes au pays!
Deux autres restaurants ont ouvert leurs portes en mars. Comme dans bien des cas chez Cora, il s’agit d’une aventure familiale. Ainsi, le restaurant du quartier St. Vital, à Winnipeg, est géré par un couple de franchisés qui est tombé sous le charme des restaurants Cora, de leurs menus colorés et de tous les plats joliment agrémentés de fruits.
La plus récente ouverture est celle du second restaurant situé à Regina. Le franchisé a d’abord ouvert un premier Cora en novembre 2018. Fort de cette aventure, il s’est lancé dans le développement de son deuxième restaurant et a ouvert les portes de celui-ci le 18 mars dernier.
Les deux nouvelles franchises font partie du plan d’expansion pancanadien de la compagnie québécoise. Avec 130 restaurants en activité, Cora continue à offrir une gastronomie matinale spécialisée en déjeuners et poursuit sa mission d’offrir une nourriture et un service de qualité dans une chaleureuse atmosphère familiale.
Le leader canadien des petits-déjeuners ouvre deux nouveaux restaurants
Franchises Cora inc., le chef de file canadien des petits-déjeuners, est fière d'annoncer l'ouverture de deux nouveaux restaurants dans l'Ouest Canadien. L'Alberta a accueuilli un nouveau soleil Cora au centre-ville d'Edmonton alors que la Colombie-Britannique a célébré l'arrivée du restaurant dans la ville de Surrey.
La grande pionnière et fondatrice, Cora Tsouflidou, était de la partie lors des deux Grandes ouvertures en compagnie de différents dignitaires, influenceurs locaux et invités. C'est lors de cette grande célébration qu'elle procède à la Cérémonie de la Première omelette, une tradition par laquelle la première omelette du restaurant est réalisée de manière tout à fait symbolique.
Les deux nouvelles franchises font partie du plan d’expansion pancanadien de la compagnie québécoise. Il s'agit du 9e restaurant Cora en Colombie-Britannique et du 18e en Alberta pour la plus grande chaîne de restaurants de déjeuners et dîners à travers le pays.
Avec 130 franchises en opération, Cora continue à offrir une gastronomie matinale spécialisée en déjeuners : une nourriture et un service de première qualité, le tout dans une chaleureuse atmosphère familiale.