L’autre soir, j’avais vingt ans,
une fillette agrippée à mon flanc.
Nous marchions à la brunante,
lançant aux quatre vents
notre trop-plein de tourments.
L’enfant et moi avancions sur un sentier
nos quatre yeux verts amplement mouillés.
J’adorais la pluie diluant nos larmes,
l’horizon mouillé, ses nuages troués.
Prisonnière d’un poème inimaginable,
ma pauvre tête cherchait des idées,
des fuites mirifiques, des îles dorées.
Un désespoir quasi irracontable.
Sur ma hanche, à demi endormie,
l’enfant becquetait mon cou.
Ses petits bras pendants,
ses jambes ballantes.
Mon cœur, mes bras, mes jambes,
tout mon corps, des roseaux flottants.
Mes folies, mes rêves, mes désirs,
des extravagances d’antan.
Fuyant l’homme malveillant,
nous espérions gagner le large.
Descendre vers le grand océan,
tel l’ancêtre dans sa barge.
Sur une route déroulée à l’improviste,
l’inquiétude m’empêche d’avancer.
Hululements de loups et cris de hiboux.
L’océan noir, ses flots en courroux.
Feuilles qui tombent, plumes qui volent,
toutes mes belles certitudes s’envolent.
Seule demeure une histoire irracontable,
un sauve-qui-peut quasi impensable.
L’homme malin et beaucoup trop beau;
son cœur malfaisant attifé d’oripeaux.
Par fragments, m’arrivent quelques lignes.
Sa mère, sa sœur, quelques belles-sœurs.
Les lumières de la ville s’éteignent.
Devant nous, l’horizon tombe dans le vide.
L’enfant vite s’enrobe de frimas,
cherchant la porte de mon ventre.
Ce soir encore la cruauté du réel
nous empêche de grimper sur la lune,
de décrocher une étoile,
de glisser sur un nuage,
et de sauter dans l’océan bleuté.
Je suis en promenade, se dit mon corps.
Là-haut, sur un nuage, l’astre jaune m’éblouit.
La lumière entre dans mes dix doigts.
Elle ruisselle dans le cou de la fillette.
Et j’écris!
— « Maman! », crie l’enfant.
Cora
❤
Je badine, je rigole, je radote à profusion. J’ai souvent l’impression d’écrire comme si j’étais en phase terminale. Comme si je voulais tout dire avant de partir; tarir mon puits de jolies phrases et m’enfuir. La chair des mots a toujours été ma terre natale, là où toute réalité prend naissance, là où ce matin mes doigts usés essaient de coudre ensemble des espoirs troués, une biographie mille fois rapiécée.
J’avance et j’implore CHRONOS, le dieu du temps qui s’écoule. Des tréfonds de l’âge, ce fils de Zeus va-t-il me répondre? Je m’incline et je supplie tous les bonzes du Panthéon. Mes griffures d’encre noire sont une longue revendication, une prière pour mon cœur assoiffé d’amour.
J’ai jadis voulu aimer et j’ai dû traverser le mur barbelé des lamentations. Tant bien que mal, je cherchais un peu d’affection. Dieu merci, aux études comme en affaires, j’avais cette bienheureuse propension à avancer droit devant. Le ciel, je suppose, m’aide à ne jamais me sentir toute seule ici-bas. Toujours, toujours, quelques anges me déroulent un tapis volant; un aigle me lance quelques plumes et j’écris ma vérité.
Contente de quitter le royaume des rêves. J’adore le faciès rosi de l’aurore. Dans ma grande cuisine, je compte mes bénédictions. Je m’extasie. Combien de jours me reste-t-il pour peinturlurer mes derniers désirs? Je m’agenouille et je prie pour que la moissonneuse m’oublie au lieu de m’occire. Mon cœur s’immisce entre les lignes; mon ardeur harmonise les rimes.
Je badine, je rigole, j’imagine mon corps outrageusement flétri nageant en plein océan. Qui donc l’amènera sur la rive paradisiaque de l’éternité? Une baleine pourrait grignoter mes chairs. Je tremble et j’ai peur qu’elle avale aussi mon cœur. Que l’on me jette en pitance à la terre, que l’on cache mes mots dans les veines des ruisseaux!
Mes doigts frissonnent, mais ils foncent dans ces bienheureux matins d’écriture. Ils remontent l’aiguille du temps à leur guise. Ils utilisent les heures comme si elles étaient des minutes gratuites dans un parcomètre. Dans son gros bol, le temps mélange les étapes de ma grouillante vie.
Lorsque j’allume ma tablette, une gerbe d’étincelles jaillit d’une phrase à demi complète. C’est mon truc à moi pour ne jamais perdre le chemin d’une histoire débutée la veille. Ainsi, ce matin, je m’empresse de décrire les dernières coulées volcaniques de mon cœur. Une nuée ardente de désirs assèche l’encre noire de mes mots. Je m’imagine quitter ce monde sans attache ni regret, sans cadavre ni feuillet.
Devant ma page lumineuse, je réfléchis. Ce matin, comme chaque jour, mes doigts muets plient et déplient des dizaines de brouillons d’écriture. Ils biffent, ils raturent, ils effacent puis ils tapent et tapent de bons mots jusqu’à vider l’aurore de tous ses rêves éveillés.
Immanquablement, de nouvelles phrases planent et volettent à travers les nuages. Elles touchent la cime des montagnes, frôlent les aigles, cognent à la porte des anges et implorent la bénédiction d’en haut. Quand pourrai-je m’envoler? Le globe tourne, tourne, mais la vie est toujours une seule fois vécue.
Cora
❤
Suite à ma virée chez l’épicier du village (lettre publiée le 18 février dernier), beaucoup de lecteurs bien intentionnés ont voulu me consoler. Comme je lis tous vos commentaires, j’en ai presque pleuré.
Oui, oui! Ce soir-là, je broyais du noir. Comme je n’avais pas dîné, j’étais affamée, mais aucune nourriture ne m’attirait. Il ne faisait pas très froid dehors et j’ai pensé aller chez l’asiatique ou chez l’italien du coin, mais ma Mini Cooper m’a conduite chez cet épicier que je connais depuis toujours. J’aurais voulu jaser avec lui comme j’ai l’habitude de le faire, mais l’homme s’était absenté pour toute la soirée et je me suis retrouvée le bec à l’eau.
En revanche, j’ai trouvé vos commentaires tellement délicieux que j’ai décidé de vous en citer quelques-uns!
Dame Sylvie Choquette, une fidèle lectrice, me console en m’écrivant dans son commentaire que, comme moi ce soir-là, elle se sentait morose dans les allées de son épicerie locale. Elle a réalisé que c’était la nouvelle lune. Cet astre qui, selon elle, prend d’assaut les émotions. « Soyons fortes », me dit-elle! Un gros merci, chère Sylvie.
Madame Nadia Lesage me donne un précieux conseil : « Si vous voulez retrouver l’espoir et vous persuader qu’il n’est jamais trop tard, lisez mon livre intitulé J’AI ATTRAPÉ LE BONHEUR AU VOL (Éditions Maïa). Chère Nadia, j’aime tout ce qui vole dans le ciel : les abeilles, les papillons, les oiseaux, les avions et sûrement votre livre que je lirai avec avidité.
« Bonjour madame Cora, merci de nous amener à l’épicerie avec vous. Nous sommes plusieurs à être seules, sans compagnon pour l’instant. Il faut garder espoir, le compagnon arrivera au moment où nous serons prêtes à l’accueillir. Ce cafard dont vous parlez, il m’accompagne souvent ». Très chère Lilianne Blondeau, nous sommes toutes des femmes matures et magnifiques. Ne nous décourageons pas.
Michel Tanguay, un autre habitué des lettres du dimanche, m’interroge via son commentaire. « Est-ce que le mot DISPONIBLE serait en train d’apparaître sur votre front? » Quelle surprenante question, cher Michel! Moi qui crois encore que tous les mâles en âge d’aimer passent leur tour lorsqu’ils me rencontrent, peut-être devrais-je broder le mot magique sur mon manteau?
Dame Sylvie Chamberland m’écrit : « Mme Cora, vous accompagner dans les allées d’épicerie était délicieux et touchant à la fois. J’ai ressenti plein d’amour à travers votre vague à l’âme. Je dois vous avouer que, parfois, j’imagine que vous êtes ma grand-mère. » Quel bonheur ce serait de faire nos emplettes ensemble, chère Sylvie! Nous pourrions même cuisiner ensemble si nous étions voisines.
Dame Maria Domenica Sabelli est une autre lectrice bien loyale et, ce matin, elle me dit que me lire est un vrai délice. « Quel plaisir! », note-t-elle. « Vos descriptions à l’épicerie me donnent l’eau à la bouche ».
Merci à dame Johanne Simard Pomerleau qui me suggère de laisser tomber une canne de soupe comme jadis on « échappait » un mouchoir pour attirer l’attention. Quelle bonne idée, chère Johanne! Je pourrais peut-être vouloir une boîte de céréales placée sur la plus haute tablette et devoir être aidée par un beau brummel aidant?
« Dame Cora, ne désespérez pas. L’homme est là, tout près, regardez bien autour. Il est peut-être garagiste ou médecin? » Chère Rachel Lavoie, je préférerais le garagiste qui pourrait me faire des petits plats et aussi laver ma bagnole à l’occasion.
« Ouf, ce matin, madame Cora, votre mélancolie m’a atteint en plein cœur. Pas tant pour le manque d’un homme; ça pour moi, c’est affaire classée. Mais le fait de manger toute seule; faire des courses pour des aliments que je ne partagerai avec personne. C’est, je crois, le plus grand regret de ma vie en solo. » Très chère Diane Gagné, je vous comprends tellement. Dans un monde idéal, nous serions de grandes amies, nous échangerions des recettes et, à l’occasion, nous casserions la croûte ensemble.
« Chère Cora, il est si paisible de ne plus rêver aux hommes. On ne meurt pas pour autant. Au contraire, on renaît à la vie et aux autres ». Dame Michèle Paré, vous avez peut-être raison, mais j’espère quand même! J’en ai connu juste un et ce n’était pas un bon modèle. De grâce, laissez-moi espérer. Laissez-moi rêver d’une belle tête blanche sur mon oreiller.
« Vous décrivez si bien les sentiments que je partage avec vous d’ailleurs. Où est-il l’homme qui irait si bien avec moi? Faudra-t-il se faire à l’idée d’épouser le célibat jusqu’à la fin? Ne perdons pas espoir! » Je suis d’accord avec vous, chère Suzanne Duchaîne. Nous ne baisserons pas les bras.
« Il y a beaucoup d’émotion dans ce texte et, comme toujours, je suis très touchée par vos mots. Je comprends votre tristesse. Il y a des jours où même le soleil n’arrive pas à nous réchauffer le cœur. Mais l’amour prend toutes sortes de formes et parfois il se cache dans l’imprévu. Je vous le souhaite de tout cœur ». Merci, chère Danielle Locas.
« Madame Cora, j’ai une idée. Peut-être qu’il faudrait vous créer un amoureux imaginaire; votre homme idéal et en lui écrivant de belles lettres d’amour, vous allez l’attirer. Ce serait comme une forme de visualisation ». Je vais y penser, chère Lucie Beauregard! J’aime écrire et mon cœur serait capable de le décrire. Mais aurai-je le culot de publier cette description? Tout probablement. Qu’ai-je à perdre?
« Bon dimanche, tante Cora. Il faudrait bien que vous veniez visiter le Prêt-à-manger du IGA où je travaille, à Notre-Dame-des-Prairies. Votre Roméo s’y cache peut-être ». Merci, Ann Mary. J’y passerai certainement.
« C’est tellement réconfortant de vous lire, même dans les dédales de vos pensées moroses » m’écrit
Pauline L’Italien.
« Ces beaux ténébreux, grisonnants, ils nous attendent au détour du chemin », m’assure Katerine Ka.
« Que dire? Faut-il en rire ou en pleurer? Paix à votre âme et chaleur dans votre cœur. Gros bizous », me souhaite Murielle Tremblay. Il faut en rire, chère Murielle! Je me livre à vous pour vous faire réfléchir et pour vous divertir! Mon cœur est peut-être seul, mais il n’est pas triste!
« L’amour arrive avec sa valise de larmes », médite Lorraine Bowles (91 ans).
Merci tellement de m’accompagner fidèlement dans cette aventure ludique. Je badine, je rigole et je doute à l’occasion. J’espère que vous aurez trouvé ces quelques commentaires aussi inspirants que moi.
Cora
❤
J’ai besoin de vous, chers lecteurs. J’en suis à la deux cent onzième lettre et je me demande si je vous ai tout raconté. Je ne vois plus clair dans l’immense entrepôt de ma mémoire. J’imagine qu’en dessous des basses tablettes les souris dansent, et que sur, les plus hautes, des corneilles grappillent et déterrent de vieilles affaires.
Oui, oui! Comme la corneille, j’ouvre mon calepin de phrases célèbres et je tombe sur les magnifiques lignes de Mahatma Gandhi : « NOTRE POUVOIR NE RÉSIDE PAS DANS NOTRE CAPACITÉ À REFAIRE LE MONDE, MAIS DANS NOTRE HABILITÉ À NOUS RECRÉER NOUS-MÊMES. » En réfléchissant à cette phrase, je reprends courage. Moi qui me pensais usée, je réalise QU’IL N’EST JAMAIS TROP TARD pour me recréer.
Jamais trop tard pour… trier, garder ce qui m’est cher et élaguer tout ce qui m’encombre.
Jamais trop tard pour… pour écouter plus souvent mon cœur, car il sait des choses que mon esprit ne comprend pas.
Jamais trop tard pour… vouloir prendre soin d’un petit animal, un chat, un chien qui me rendrait plus sensible et plus affectueuse, tout le monde me le conseille.
Jamais trop tard pour… aller contempler plus fréquemment les vagues bleues de ma Gaspésie natale. J’en ai toujours envie et j’hésite à prendre la route la plupart du temps.
Jamais trop tard pour… m’émerveiller, pour laisser mes yeux boire le monde, admirer la nature et les grands sapins qui entourent ma maison.
Jamais trop tard pour… dire merci plus souvent, le dire du fond du cœur. Un merci sincère demande tellement peu d’efforts.
Jamais trop tard pour… tisser des liens, ouvrir mon cœur à de nouvelles amitiés et à de nouvelles aventures.
Jamais trop tard pour… améliorer la vie des autres autour de moi, la mienne n’en sera que meilleure.
Jamais trop tard pour… pimenter ma vie et ne pas laisser le train-train quotidien engourdir ma raison. Heureusement, l’écriture me permet d’être fofolle à l’occasion.
Jamais trop tard pour… apprendre à lâcher prise, pour me défaire de ce qui pèse sur mes épaules et s’accroche à mes chevilles.
Jamais trop tard pour… vieillir en beauté. Nous avons l’âge que nous donnent nos pensées et non celui que nous prête le calendrier. Des projets audacieux nous aident à rester jeunes à ce qu’il paraît.
Jamais trop tard pour… cultiver quelque chose. Planter une graine, regarder la fleur s’épanouir et en prendre soin. Mon comptoir de cuisine est rempli de plantes vertes et je leur fais des bisous pour qu’elles poussent plus vite.
Jamais trop tard pour… pardonner à quelqu’un qui nous a fait souffrir. La rancœur est un lourd fardeau. Pardonner interrompt le ressassement de nos chagrins, libère la pensée et allège le cœur.
Jamais trop tard pour… se lancer. J’ai débuté à 40 ans et ma carrière de femme d’affaires intrépide en témoigne.
Jamais trop tard pour… dire « je t’aime ». C’est un cadeau précieux. Disons-le souvent et, surtout, avec sincérité. Je meurs d’envie de pouvoir le dire à un prince charmant!
Où diable se cache mon âme sœur?
Cora
❤
Les restaurants Cora sont fiers d’annoncer que la marque devient désormais un partenaire de choix de la compagnie aérienne WestJet. En effet, le transporteur canadien offre dorénavant le déjeuner Cora dans sa cabine Privilège à bord de ses vols matinaux. Il s’agit d’une délectable marque de confiance à l’égard notre entreprise, la pionnière des restaurants de déjeuners au Canada!
WestJet propose, depuis le 26 juin, un déjeuner Cora sur la plupart de ses vols d’une durée de deux heures et demie et plus. Les plats offerts sont inspirés des repas déjà prisés des mordus des déjeuners Cora : les oeufs Ben et Dictine à la dinde fumée, la Cassolette de légumes et l’Omelette au cheddar vieilli et aux épinards avec saucisse à la dinde.
Il s’agit d’une savoureuse opportunité pour Cora déjeuners d’accroître sa notoriété et de faire découvrir son menu auprès d’un public voyageur en donnant aux passagers de WestJet la chance de savourer un déjeuner Cora dans la cabine Privilège du transporteur.
Bon voyage!
Franchises Cora inc., le chef de file canadien des petits-déjeuners, est fière d'annoncer qu'un autre soleil s'ajoute à sa bannière dans l'Ouest Canadien. Cette fois, c'est la ville de North Vancouver qui a vu le soleil se lever.
La grande pionnière et fondatrice, Cora Tsouflidou, était de la partie lors de la Grande ouverture. C'est lors de cette célébration qu'elle procède à la Cérémonie de la Première omelette, une tradition par laquelle la première omelette du restaurant est réalisée de manière tout à fait symbolique.
Cette nouvelle franchise fait partie du plan d’expansion pancanadien de la compagnie québécoise. Il s'agit du 10e restaurant Cora en Colombie-Britannique pour la plus grande chaîne de restaurants de déjeuners et dîners à travers le pays.
Avec plus de 130 franchises en fonction, Cora continue à offrir une gastronomie matinale spécialisée en déjeuners : une nourriture et un service de première qualité, le tout dans une chaleureuse atmosphère familiale.
L’année 2019 en est une de développement pour Franchises Cora inc., le chef de file canadien des déjeuners. L’entreprise fait rayonner son soleil symbolique dans les plus grandes villes au pays!
Deux autres restaurants ont ouvert leurs portes en mars. Comme dans bien des cas chez Cora, il s’agit d’une aventure familiale. Ainsi, le restaurant du quartier St. Vital, à Winnipeg, est géré par un couple de franchisés qui est tombé sous le charme des restaurants Cora, de leurs menus colorés et de tous les plats joliment agrémentés de fruits.
La plus récente ouverture est celle du second restaurant situé à Regina. Le franchisé a d’abord ouvert un premier Cora en novembre 2018. Fort de cette aventure, il s’est lancé dans le développement de son deuxième restaurant et a ouvert les portes de celui-ci le 18 mars dernier.
Les deux nouvelles franchises font partie du plan d’expansion pancanadien de la compagnie québécoise. Avec 130 restaurants en activité, Cora continue à offrir une gastronomie matinale spécialisée en déjeuners et poursuit sa mission d’offrir une nourriture et un service de qualité dans une chaleureuse atmosphère familiale.
Le leader canadien des petits-déjeuners ouvre deux nouveaux restaurants
Franchises Cora inc., le chef de file canadien des petits-déjeuners, est fière d'annoncer l'ouverture de deux nouveaux restaurants dans l'Ouest Canadien. L'Alberta a accueuilli un nouveau soleil Cora au centre-ville d'Edmonton alors que la Colombie-Britannique a célébré l'arrivée du restaurant dans la ville de Surrey.
La grande pionnière et fondatrice, Cora Tsouflidou, était de la partie lors des deux Grandes ouvertures en compagnie de différents dignitaires, influenceurs locaux et invités. C'est lors de cette grande célébration qu'elle procède à la Cérémonie de la Première omelette, une tradition par laquelle la première omelette du restaurant est réalisée de manière tout à fait symbolique.
Les deux nouvelles franchises font partie du plan d’expansion pancanadien de la compagnie québécoise. Il s'agit du 9e restaurant Cora en Colombie-Britannique et du 18e en Alberta pour la plus grande chaîne de restaurants de déjeuners et dîners à travers le pays.
Avec 130 franchises en opération, Cora continue à offrir une gastronomie matinale spécialisée en déjeuners : une nourriture et un service de première qualité, le tout dans une chaleureuse atmosphère familiale.